Psychologie systémique, thérapie de couple, sexothérapie et éveil de conscience

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Céline BERCION - Dr en Psychologie sociale et systémique
Psychothérapie
Thérapie de couple - Sexothérapie 
Initiatrice des grandes traversées de vie

Psychologie systémique, thérapie de couple, sexothérapie et éveil de conscience

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NeoSoi
Céline BERCION - Dr en Psychologie sociale et systémique
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Le syndrome du sursaut tardif chez l’homme en couple : mythe ou réalité ?


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Et si ce réveil masculin, souvent trop tardif, n’était que le symptôme d’une culture relationnelle à bout de souffle ?

Quand le réveil arrive trop tard ...

"Maintenant qu’il sait que je vais partir, il se met à changer. Il m’écoute, il parle, il dit qu’il m’aime. Mais moi… je suis déjà ailleurs".

Ce constat, douloureux, traverse de nombreux récits de femmes que je reçois en thérapie de couple. À force d’avoir porté le lien (Cf. mon article sur la perte de désir et la maternité du lien, la face cachée de la charge mentale), d’avoir crié dans le vide, beaucoup arrivent à un point de bascule : celui où le corps reste, mais le cœur s’est déjà détaché.

Chez l’homme, c’est souvent à ce moment (quand la séparation est formulée) qu’un changement soudain apparaît.
D’où la question : s’agit-il d’une véritable prise de conscience ? Ou d’un réflexe de survie relationnelle déclenché par la perte imminente ?

Ce qu’on appelle communément le "sursaut tardif masculin" est-il en fait :

  • une réalité clinique genrée ?

  • un produit social et systémique du patriarcat émotionnel ?

  • ou une construction projetée par les attentes féminines ?

Je vous invite à explorer ces dimensions à la lumière de la psychologie sociale, clinique, systémique et des travaux contemporains sur le couple.

I. Un phénomène réel, objectivable… mais mal interprété

De nombreuses études valident le décalage de temporalité affective entre hommes et femmes dans les couples hétérosexuels. Notamment, L’INED (2020) montre que 3 ruptures sur 4 sont initiées par les femmes, qui souvent préparent psychiquement leur départ bien avant de le verbaliser.

Regardons du côté des travaux de Diane Vaughan (Uncoupling, 1986) : elle a démontré que la personne quittante passe par plusieurs étapes invisibles (désillusion, retrait affectif, évaluation des options, planification), tandis que la personne quittée reste dans une relative illusion de stabilité.

En thérapie, cette dynamique pourrait se formuler ainsi par la personne quittée :

"Elle avait déjà rompu il y a un an, mais je n’ai rien vu".

 

John Gottman, quant à lui, observe que dans 85 % des cas de rupture dans ses études longitudinales, la femme donne des signaux faibles (frustration, désengagement sexuel, colère larvée) longtemps avant que l’homme ne les perçoive comme des signaux d’alerte.

D’un point de vue clinique, il ne s’agit donc pas d’un mythe, mais d’un phénomène observable, fréquent, et ancré dans une asymétrie émotionnelle structurelle.

II. Masculinité défensive, loyautés invisibles et confort émotionnel

Pourquoi tant d’hommes ne perçoivent-ils pas les signes avant-coureurs de la séparation ? Ou plutôt, serait-il plus juste de poser la question dans ce sens : pourquoi ne veulent-ils pas les percevoir ?

La psychologie sociale et la sexothérapie clinique offrent plusieurs pistes.

 

1. Une éducation émotionnelle genrée

Gwenaëlle Persiaux (Guérir des blessures d’attachement, 2019) montre que, dans l'éducation française, les filles sont encouragées à parler de leurs émotions, alors que les garçons sont valorisés dans le contrôle, l’action et l’endurance.

Nicole Guédeney insiste sur l’impact de l’attachement évitant chez les hommes, qui se traduit par une minimisation des besoins affectifs (Cf. mon article : https://www.neosoi.fr/neosoi-blog/psycho-et-sexo/articles/dependance-affective-quand-l-anxieux-rencontre-l-evitant-comprendre-les-dynamiques-cachees-dans-le-couple.

Conséquence :

Beaucoup d’hommes ne réagissent pas parce qu’ils n’ont jamais appris à lire les micro-signaux émotionnels dans le couple.
Et plus encore : ils interprètent la plainte comme une attaque et non comme une demande d’amour (Cf. mon article https://www.neosoi.fr/neosoi-blog/psycho-et-sexo/articles/pourquoi-les-hommes-n-ont-jamais-appris-a-entendre-sans-se-sentir-remis-en-question). 

 

2. La loyauté au père absent ou impuissant

Guy Corneau (Père manquant, fils manqué) décrit l’homme comme un être en quête de modèle, souvent orphelin émotionnel.
Privé d’un père présent et aimant, le jeune garçon apprend à aimer par absence : sans expression, sans engagement, sans conscience du lien.

Jean-Yves Hayez confirme cette approche et observe même chez ses patients une "dette d’obéissance inconsciente au modèle du père non impliqué".

Dès lors, le refus d’entendre la souffrance de l’autre n’est pas une indifférence : c’est une fidélité silencieuse à un modèle relationnel défensif.

 

3. Un confort émotionnel normalisé… jusqu’au choc

En fait, l’absence de remise en question n’est pas toujours un déni. Parfois, c’est un confort entretenu des deux côtés : la femme exprime, l’homme se tait et le couple tient. Jusqu’à ce que le déséquilibre devienne insupportable.

A ce sujet, Pierre Bourdieu (1998) parle de domination masculine incorporée : l’homme n’a pas besoin d’être toxique pour être dans une forme d’asymétrie. Il lui suffit d’exister dans un système qui l’exempte de vigilance affective.


Dans ce sens, on pourrait possiblement envisager le "sursaut tardif" non pas comme un éveil, mais un effondrement du cadre relationnel patriarcal. Selon cette vision, ce sursaut ne serait alors pas un acte d’amour… mais une défense identitaire face à la perte de pouvoir émotionnel. C'est un autre angle de vue. 

III. Typologie clinique : les 6 visages du sursaut masculin

Ce "sursaut" n’a rien d’un phénomène unique. Loin s'en faut. Il revêt plusieurs formes, notamment selon le type d’attachement, le parcours psychique et la structure défensive du sujet.

Voici une typologie clinique du sursaut masculin que j’observe en cabinet et que je vous partage ici : 

Profil

Avant la rupture

Déclencheur

Sursaut

Transformation possible ?

Déconnecté affectif

Froid, rationnel, absent émotionnellement

Annonce de rupture explicite

Sidération + rationalisation

Moyenne si travail sur les affects

Bouc émissaire du couple

Soumis, coupable, effacé

Ultimatum ou départ

Crise anxieuse

Bonne si affirmation de soi soutenue

Pseudo-maître du lien

Contrôle, rigidité, négation

Perte de contrôle

Rage + manipulation

Faible si défense narcissique dominante

Anesthésié émotionnel

Indifférence, fuite, repli

Perte réelle

Dépression ou dissociation

Bonne si prise en charge du trauma

Réparateur sincère

Aimer sans savoir le montrer

Rupture vécue comme révélation

Sincère + transformation émotionnelle

Excellente si processus engagé à deux

Stratégique

Désengagement affectif, confort personnel

Menace de solitude ou d’image

Tentatives spectaculaires, fausses promesses

Très faible : motivation extrinsèque

Nota : ce tableau peut être utilisé comme outil de diagnostic clinique ou support d’exploration en couple pour identifier les vraies dynamiques en jeu.

IV. Comment transformer un sursaut en chemin initiatique (et non en sursaut de panique) ?

A mon sens, la question n’est pas : faut-il réagir une fois que l’autre veut partir ?
Mais plutôt : comment ne pas attendre la perte pour oser écouter, évoluer, aimer autrement ?

 

Très souvent, dans les couples qui viennent en consultation, le sursaut arrive comme une tentative désespérée de sauver ce qui s’effondre.

Mais aimer vraiment, ce n’est pas supplier l’autre de rester.
C’est se laisser traverser par ce que le lien révèle de soi, de ses peurs, de ses blocages, de ses blessures encore à nu.

Dans mon approche intégrative, la crise de couple n’est pas considérée comme un accident. C’est plutôt une porte. Un seuil initiatique qui confronte les 2 membres du couple à ce qu'ils ont jusqu'ici refusé de voir, dans l’autre, mais surtout en eux-mêmes.

A ce sujet, Robert Neuburger (On arrête ?) l’exprime avec une grande clarté : certains couples ne se détruisent pas dans la séparation, mais dans l’incapacité à mourir à leur forme obsolète pour se réinventer.
Car un couple ne renaît pas "comme avant". Il traverse une mue, un effondrement symbolique qui, bien accompagné, peut devenir un acte fondateur. Autrement dit, la crise peut être un passage, si et seulement si :

  • les deux partenaires sont encore mobilisables : les deux acceptent d’entrer dans un travail qui engage le corps, la parole, le souffle et le mythe fondateur du couple

  • le travail thérapeutique déconstruit les rôles : l’autre ne reste pas par devoir ou pitié, mais parce qu’il ou elle sent que quelque chose de radicalement neuf peut émerger

  • le changement n’est pas un acte désespéré… mais une transformation assumée : l’un ne change pas uniquement pour retenir l’autre, mais pour se rencontrer soi-même

Car ce n’est pas une réparation. C’est un rite d’évolution.

 

Que se passe-t-il alors en thérapie / sexothérapie ?

  • Nous explorons les loyautés invisibles qui ont conduit au déséquilibre (travail sur les scénarios d’attachement notamment)

  • Nous reconnaissons le deuil de l’ancien couple, avec ses illusions, ses scripts sociaux, ses attentes piégées 

  • Nous revenons dans le corps, là où l’histoire se rejoue bien avant les mots : respiration, tension, fermeture, mémoire du plaisir ou de la blessure (réintégration corporelle du lien)

  • Nous traversons le feu, celui du non-dit, de la colère, du vide, de la honte — pour en extraire une parole plus vraie (des rituels de réparation symbolique notamment)

  • Nous réhabilitons le désir, non comme performance, mais comme mouvement vivant de l’âme vers l’autre

Nota : 

Certains couples ne rassemblent pas les éléments pour transformer cette crise. Ils vont alors être accompagnés dans la séparation. 


Dans mon approche, ce n’est pas le couple d’avant qu’on tente de sauver.

C’est la part d’amour vivant qui n’a jamais pu respirer pleinement, faute d’espace, de conscience ou de langage.

Conclusion : le sursaut n’est pas toujours un salut, mais il peut devenir un seuil

Le "sursaut tardif" masculin n’est pas un cliché : c’est une expression complexe et genrée d’un réveil psychique face à la perte.
Il peut naître d’un effondrement narcissique, d’une crise d’attachement ou d’une sidération soudaine. Souvent, il révèle des années de silence, de suradaptation ou de clivage émotionnel.

Pour le dire autrement, le syndrome du sursaut tardif masculin est, en fait, une réalité cliniquement observable, mais socialement construite.

 

Je dirais que le sursaut tardif est le fruit d’une non-éducation émotionnelle, d’un confort systémique et d’une culture du masculin défensif.

Mais il ne suffit pas d’avoir peur de perdre pour changer. Il est nécessaire de pouvoir véritablement accueillir ce sursaut comme un début de lucidité et non comme une stratégie de reconquête.

 

Changer ce scénario, ce n’est pas accuser les hommes. C’est leur offrir des voies de transformation, bien avant que la rupture ne s’impose.

 

Et là, pour qu’un couple survive à ce point de bascule, encore faut-il que :

  • L’un ne change pas pour sauver l’autre, mais pour se rencontrer dans sa propre vérité,

  • L’autre n’accueille pas ce changement par devoir, mais par désir renouvelé de lien,

  • Les deux acceptent de renoncer à l’ancien couple, et d’entrer dans une traversée initiatique, où le corps, les blessures, le désir et les représentations sociales du couple sont mis à nu.

Et parfois, ce n’est pas un retour au couple qui émerge. Non. C'est parfois un adieu lucide, porteur de dignité, de clarté et de maturité relationnelle.

 

Alors oui, certains liens doivent mourir. Et ce deuil peut être une voie d’évolution à part entière.
Mais quand deux êtres sont encore disponibles, même s'ils sont profondément blessés, le sursaut peut devenir un seuil. Une mue, un passage, un rite.
Pas pour revenir comme avant. Non. Mais pour aimer autrement, avec davantage de conscience, d’ancrage et de vérité. Le véritable amour n’est pas celui qui surgit quand l’autre s’en va. C’est celui qui écoute, apprend et évolue tant que l’autre est encore là.

 

Un couple peut mourir du silence, mais renaître du courage.

Et vous, où en êtes-vous ?

Tu es un homme qui se réveille trop tard, mais qui sent que quelque chose est en train de s’ouvrir en toi ?
Tu es une femme qui porte le lien depuis trop longtemps et tu n’as plus la force d’attendre ?
Vous êtes à deux doigts de vous quitter, mais une part de vous espère encore ?

J’accompagne des hommes et des femmes à travers ces passages difficiles, parfois initiatiques, dans :

Écris-moi à contact@neosoi.fr ou découvre mes stages & retraites ici :
www.neosoi.fr/atelier-et-retraites

FAQ – Le sursaut tardif chez l’homme en couple : 7 questions pour aller plus loin

Est-ce que tous les hommes se réveillent trop tard ?

Non. Certains hommes sont très sensibles aux micro-signes de désalignement dans le couple.
Mais statistiquement, dans les couples hétérosexuels, une majorité d’hommes attendent l’annonce explicite d’une séparation pour s’engager dans un vrai processus de remise en question.
Cela peut être lié à un évitement émotionnel, à une sidération face à la perte ou à un effondrement du système de défense.

 

Et si ce sursaut est trop tard ? Que faire ?

Tout dépend de la qualité du lien et du niveau de désengagement de l’autre.
Parfois, le sursaut révèle une transformation authentique, qui peut ouvrir un chemin nouveau.
Mais parfois, la personne qui veut partir est déjà ailleurs psychiquement.
Il s’agit alors de ne pas forcer le lien, mais d’accompagner la séparation comme un acte de conscience.

 

Le changement doit-il forcément passer par la thérapie ?

Certains hommes vivent une transformation profonde hors du cadre thérapeutique, dans une nuit noire, un burn-out, un effondrement existentiel. Oui c’est vrai.
Mais la thérapie offre un cadre d’intégration, un espace de symbolisation et, parfois, une co-naissance du lien… surtout quand la parole seule ne suffit plus et que le corps, le souffle, le mythe doivent être mobilisés.

 

Comment faire la différence entre un sursaut sincère et une réaction stratégique ?

Observez les actes, pas les promesses. Un changement sincère se manifeste par :

  • une vulnérabilité exprimée sans défense

  • une volonté de comprendre son propre rôle dans la crise

  • une cohérence dans la durée, et non une suite d’actions spectaculaires pour reconquérir

S’il s’excuse sans se transformer, ou s’il fait "tout ce qu’il faut" sans jamais parler de ses émotions profondes… restez vigilante.

 

Est-ce qu’un couple peut renaître après un sursaut ?

Oui, mais pas dans sa forme ancienne. Un couple peut se réinventer sur de nouvelles bases, plus justes, plus intimes, plus libres (à condition de renoncer à vouloir "réparer" ce qui a été et de se mettre à l’écoute de ce qui cherche à naître).

 

Est-ce qu’il arrive que ce soit la femme qui soit dans le sursaut tardif ?

Bien sûr. Certaines femmes évitent aussi la confrontation, fuient l’intimité ou restent dans un lien mort, jusqu’à un réveil tardif.
Mais dans les couples hétérosexuels, la socialisation émotionnelle fait que les femmes verbalisent plus tôt, tandis que les hommes retardent leur investissement émotionnel, souvent jusqu’à la menace de rupture.

 

Proposez-vous des accompagnements pour couples dans cette situation ?

Oui. Je propose :

  1. des séances de couple (1h) pour créer un espace de parole, de reconnexion et de désamorçage des boucles défensives

  2. des séances individuelles (45mn) pour comprendre ses propres schémas relationnels / blessures, etc.

  3. des parcours en profondeur comme :

 

Mes accompagnements mobilisent :

  • la sexothérapie (désir, mémoire sexuelle, corps)

  • la psychologie sociale, clinique et systémique - entre autres - (loyautés familiales, scripts conjugaux, etc.)

  • les états de conscience élargis (respiration, symbolique, rituels)

  • Etc. 

Bibliographie

  • Bourdieu, P. (1998). La domination masculine. Paris : Éditions du Seuil.

Analyse fondatrice sur les rapports de genre intériorisés et les systèmes implicites de pouvoir.

  • Corneau, G. (1991). Père manquant, fils manqué. Montréal : Éditions de l’Homme.

​​​​​​​Un classique sur la blessure masculine et les effets d’une paternité défaillante sur les hommes adultes.

  • Douville, O. (2008). Figures de l’attachement. Le Divan familial, 20(4), 77–88. Érès.

Réflexion psychanalytique sur les formes d’attachement et leurs résonances dans le lien amoureux.

  • Gottman, J. M. (1995). Why marriages succeed or fail: And how you can make yours last. New York : Simon & Schuster.

Études longitudinales sur les prédicteurs de rupture dans le couple.

  • Guédeney, N. (2009). L’attachement : Approche clinique. Paris : Masson.

Ouvrage de référence sur les styles d’attachement et leur expression dans la relation adulte.

  • Hayez, J.-Y. (2002). Les émotions de l’enfant : Un apprentissage impossible ? Bruxelles : Mardaga.

Analyse du développement émotionnel et des carences affectives liées au genre dans l’enfance.

  • Neuburger, R. (2012). On arrête ? Et autres situations de crises conjugales. Paris : Payot.

Approche systémique et clinique des ruptures, séparations et points de bascule dans la vie conjugale.

  • Perel, E. (2017). Les chemins de l’infidélité. Paris : Robert Laffont.

Exploration contemporaine des crises conjugales, du désir, de l’intimité et de la transformation relationnelle.

  • Persiaux, G. (2019). Guérir des blessures d’attachement. Paris : Albin Michel.

Synthèse intégrative sur les blessures relationnelles et les processus thérapeutiques associés.

  • Prieur, N. (2020). La famille, l'argent, l'amour : Les paradoxes de la transmission. Paris : Albin Michel.

Réflexion sur les injonctions implicites au sein du couple, et les dynamiques transgénérationnelles.

  • Van Hemelrijck, J. (2015). Le masculin en péril ? Le Journal des Psychologues, 331(1), 27–30. Cairn.info.

Analyse critique des nouvelles vulnérabilités du masculin dans les relations contemporaines.

  • Vaughan, D. (1986). Uncoupling: Turning points in intimate relationships. New York : Oxford University Press.

Étude fondatrice sur les étapes psychiques de désengagement dans les processus de séparation.

 

http://​​​​​​​https://shs.cairn.info/revue-cahiers-de-psychologie-clinique-2017-1-page-135?lang=fr

https://shs.cairn.info/revue-therapie-familiale-2012-4-page-373?lang=fr#s1n3

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