Céline BERCION - Dr en Psychologie sociale et systémique
Psychothérapie
Thérapie de couple - Sexothérapie 
Initiatrice des grandes traversées de vie

Psychologie clinique et systémique, thérapie de couple, sexothérapie et éveil de conscience

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Céline BERCION - Dr en Psychologie sociale et systémique
Psychothérapie
Thérapie de couple - Sexothérapie 
Initiatrice des grandes traversées de vie

Traverser le Deuil : comment transformer la perte en passage vers la renaissance


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La vie nous arrache parfois ce que nous aimons le plus. Mais au-delà de la douleur, le deuil en soi n'est pas une épreuve à surmonter. C'est une invitation silencieuse qui nous attend : celle de renaître autrement.

La perte, un passage initiatique

Il y a 3 semaines, j'ai traversé deux départs majeurs. Mon père a quitté ce monde et, quelques jours plus tard, mon fidèle compagnon silencieux de vingt ans, mon chat, s'est éteint.

Deux liens d'amour. Deux repères. Deux départs silencieux et brutaux dont l’écho continue de résonner profondément dans mon être. Mais aussi ... Deux absences qui, bien au-delà de la tristesse, ont ouvert un passage intérieur. Car si la perte nous foudroie, elle nous invite aussi, silencieusement, à une autre naissance.

Dans cette traversée personnelle, je me suis rappelée ce que j'observe depuis des années dans mes accompagnements : le deuil n'est pas seulement un arrachement. Il est avant tout un appel intérieur, une mutation lente et profonde qui nous pousse à devenir plus vastes que ce que nous croyions être.

À travers cet article, je vous propose un chemin de compréhension, d'intégration et d'accompagnement autour du deuil. Un chemin qui allie psychologie clinique, psychologie sociale, systémie et approche transpersonnelle. Je vous propose de parcourir la façon dont se déploie le processus de deuil :

  • Comment il agit sur nous, corps, cœur et âme.

  • Pourquoi il est souvent entravé.

  • Comment il peut devenir - ou comment on peut le faire devenir-, parfois douloureusement, un chemin de transmutation.

Les différentes formes de deuil : une réalité humaine universelle bien plus qu'une question de mort

Nous pensons souvent au deuil uniquement en lien avec la mort physique. Or, le deuil touche à tout ce que nous avons profondément investi d'amour, de sens, de projet :

  • Un partenaire de vie.

  • Un enfant non né.

  • Une amitié ancienne.

  • Un rêve professionnel ou personnel qui n'adviendra pas

  • Un lieu de vie que l'on doit quitter

  • Une vision de soi-même.

  • Etc. 

Tout est deuil dès lors qu'un lien vital s'effondre.

En séance, j'accueille souvent des personnes qui viennent "pour autre chose" que cet innommable que l'on a tant de mal à prononcer. Ces personnes viennent pour des problématiques diverses — fatigue, anxiété, perte de désir, etc.. Mais sous ces symptômes, la plupart du temps il s'agit d'un deuil non reconnu : celui d’une image de soi, d’une relation, d’une possibilité de vie.

Sophie, 42 ans, a quitté un compagnon devenu comme un "étranger" au bout de 10 ans de vie commune. Elle pensait retrouver sa liberté. Elle découvre en fait un vide bien plus vaste que la simple absence de son ex compagnon : elle découvre surtout le vide d'une part d’elle-même, de son avenir, de son identité. Ce fut tout l'enjeu de son travail pendant près de 6 mois à mes côtés. 

La psychologie sociale et clinique (Gacon & Giust-Desprairies, 2017) nous rappellent ô combien nos identités sont relationnelles. Perdre un lien, c'est voir s'effriter une part de son propre monde intérieur...

On le sait tous pour l'avoir connu au moins une fois : lorsque l'on perd quelqu'un ou quelque chose, ce n’est pas seulement notre intérieur qui est bouleversé. C’est aussi notre système relationnel tout entier.

  • Certains amis voudront "nous changer les idées" trop vite, incapables de rester présents à notre lente traversée.

  • D’autres nieront notre douleur par maladresse, préférant croire que "ça ira vite mieux".

  • D'autres restent même attachés à l'ancien "moi" ... 

C'est le cas lorsque, par exemple, vous renaissez, que vous vous ouvrez à une nouvelle histoire - d'amour notamment - , un nouveau lien.  Votre entourage peut alors rester inconsciemment attaché à l'ancien vous.  Ce fut le cas de Claire venue me voir : après sa séparation, quelques mois après elle retrouve l’amour. Mais ses amis évoquent encore son ancien mari, rient de souvenirs passés, sans laisser de place à son nouveau compagnon. La loyauté invisible des systèmes familiaux et amicaux, décrite par Schützenberger (2007), œuvre ici sans bruit : la famille comme les amis ont une propension à rester liés à ce que vous étiez, pas encore prêts à accueillir ce que vous devenez. En fait, votre renaissance intérieure peut déranger. Non parce qu’elle est mauvaise, mais parce qu’elle oblige l’entourage à évoluer aussi... CQFD. 

Le deuil n'est donc pas réservé aux seuls décès. Il surgit chaque fois que nous perdons un lien vital. Chaque perte de ce qui structurait notre existence exige un processus de deuil. Pour le dire autrement, ce n’est pas seulement la personne ou la chose perdue que nous pleurons : c’est aussi une part de nous-mêmes.

En psychologie clinique (Cf. Freud, 1917 ; Hennezel, 1995), le deuil est ainsi reconnu comme un travail psychique nécessaire pour intégrer la perte, sans quoi l’énergie psychique reste figée dans le passé et devient alors pathologique.

Les étapes du deuil : un chemin spiralé, pas linéaire

C'est la psychiatre Elisabeth Kübler-Ross (1969) qui a proposé une modélisation des étapes du deuil, toujours aussi précieuse en 2025, en 5 phases :

  1. Le choc et le déni : "Ce n'est pas possible."

  2. La colère : "Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ?"

  3. Le marchandage : "Si seulement je fais ceci, cela pourrait revenir..."

  4. La tristesse profonde : Le ressenti abyssal du vide et du manque.

  5. L'acceptation : Un début de pacification intérieure.

Cette fameuse "courbe du deuil" (Kübler-Ross, 1969) a ainsi popularisé l’idée que le deuil est fait de stades successifs (choc, colère, marchandage, tristesse, acceptation).

Or, en réalité, le processus de deuil est une spirale organique, imprévisible, faite d’avancées et de replis. Les travaux de recherches plus récents (Neimeyer, 2016 ; Klass, Silverman et Nickman, 1996) enrichissent ainsi ce modèle et démontrent que le deuil est un processus circulaire, avec des allers-retours entre ces états, plutôt qu'une progression linéaire.

En séance, je rassure souvent mes clients qui, parfois, s'agacent avec cette sensation de "revenir en arrière" : revenir à la colère ou à la tristesse ne signifie pas "rechuter". C'est au contraire la preuve que le processus du deuil est bel et bien vivant. Accueillir la circularité de son chemin, sans chercher à "bien faire son deuil", c'est surtout restaurer la confiance dans le rythme propre du vivant intérieur. Un processus ultra précieux. 

Le deuil et la culture : entre déni social et ritualisations oubliées

Dans de nombreuses cultures traditionnelles, le deuil est bien ritualisé : pleurs collectifs, cérémonies, rituels d’adieu, symboles visibles de deuil, etc. Le mexique en est un bel exemple avec sa fête des morts. 

À l'inverse, dans nos sociétés occidentales modernes, la mort est souvent occultée, médicalisée, silencieuse.
Sans jamais l'énoncer, on attend même des endeuillés qu'ils "tournent la page" rapidement.

Comme le souligne Marie de Hennezel (La Mort intime, 1995), cette négation du deuil réel entrave le processus psychique car le chagrin n'a plus d'espace social pour s'exprimer et s'intégrer. Catherine Tourette-Turgis (2019) va encore plus loin et souligne à quel point le soin passe souvent par des actes symboliques qui permettent de réhabiter l’espace intérieur vidé par la perte.

Le rituel apparaît ainsi comme un acte de souveraineté intérieure. Il ne fait pas "oublier" : il inscrit le passage dans la conscience.

Alors au moins pour cette raison, si nécessaire lors d'une séance, je propose de réinventer des rituels personnels pour accompagner ce que la société a oublié de soutenir. C'est aussi ça mon travail de psy. C'est fondamental. 

Deuils transgénérationnels : la mémoire qui saigne encore

Parfois, votre douleur semble disproportionnée. Elle déborde l’événement vécu. C'est que les deuils non faits des générations précédentes peuvent se réveiller en vous.

Julie vient me voir après une fausse couche. Elle ressent une détresse abyssale depuis des mois. Avec un travail sur le génogramme et quelques séances de respiration holotropique, elle découvre que sa grand-mère, elle aussi, avait perdu un enfant dans le silence et la honte.

Selon la clinique transgénérationnelle (Schützenberger, 2007), ce qui n’a pas été symbolisé dans une génération cherche à s’exprimer dans les suivantes. Traverser son deuil, c'est parfois libérer toute une lignée. Un enjeu de taille donc. 

Les blocages du processus de deuil : éléments de psychopathologie

Selon Freud (Deuil et Mélancolie, 1917), le deuil est un travail psychique intense : le Moi doit se détacher du lien perdu, sans renier ce qui fut investi.

Selon le DSM-5-TR (APA, 2022), on distingue :

  • Le deuil normal : traversée progressive, même chaotique, avec intégration dans le temps.

  • Le deuil compliqué : figement émotionnel, incapacité à réinvestir la vie, symptômes dépressifs majeurs persistants.

 

Parfois, le processus de deuil se fige, se dévoie ou se bloque. Dans ma pratique, les mécanismes de blocage les plus fréquents que je constate sont les suivants :

  • Le déni persistant : refuser d'admettre la perte pour ne pas ressentir la douleur.

  • L'anesthésie émotionnelle : se couper de toute émotion pour éviter l'effondrement.

  • L'hypercontrôle : maintenir une apparence de maîtrise pour ne pas "craquer".

  • La désorganisation profonde du lien social ou professionnel.

Conséquences :
Un deuil figé peut mener à des états de dépression, de dissociation ou à une incapacité chronique à investir de nouveaux liens. Dans tous les cas, l’accompagnement vise d'abord à restaurer un mouvement vivant chez la personne à travers le corps, les émotions, la narration de l’histoire.

En séance, je travaille ainsi avec beaucoup de délicatesse pour accueillir d'abord la résistance de la personne avant de l'inviter doucement à entrer en contact avec les émotions refoulées.

Deuil figé vs deuil traversé : la grande différence

De façon poétique, on pourrait dire qu'un deuil figé "fossilise" l'âme alors  qu'un deuil traversé élargit la conscience. Plus concrètement, le deuil traversé n'efface pas la douleur, mais il permet d'habiter pleinement l'absence, de se réconcilier avec l'impermanence de la vie et d'ouvrir de nouveaux possibles intérieurs.

Comme le souligne Christiane Singer (Derniers fragments d'un long voyage, 2007), la vraie traversée du deuil nous rend plus tendres et plus vastes. Reste à savoir, seul ou accompagné, comment le traverser pour que cela advienne. 

Le deuil habite aussi le corps

La perte n'est pas seulement mentale ou émotionnelle : elle s'inscrit profondément dans le corps. En psychologie psychosomatique (Tisseron, 2017), il est d'ailleurs démontré que :

  • La fatigue intense est une réponse physiologique à la puissance de la charge émotionnelle.

  • Les troubles du sommeil sont une tentative inconsciente d’échapper aux relances du manque.

  • Le retrait sexuel ou, au contraire, l’hypersexualité peuvent être des formes de recherche ou de fuite du lien perdu.

Sonia, après une rupture brutale, enchaîne les rencontres pour "oublier". Son corps, loin de se réjouir, s'épuise et se ferme. Le corps parle. Il dit ce que l’esprit n’ose pas toujours regarder.

Non, vous n'êtes pas faible. Vous êtes seulement en train de laisser mourir une part ancienne de vous. Et votre corps est le premier témoin silencieux de cette mue.

En séance, j'accueille toutes ainsi les manifestations corporelles comme des langages du vivant : respirations, mouvements spontanés, postures… Le corps parle là où le mental est encore sidéré.

Nota : la psychonutrition et la médecine fonctionnelle sont également de puissantes alliées dans mes accompagnements sur les grandes traversées de vie. 

Quel que soit le type de deuil, voici un process de travail

Quels que soient les deuils à traverser - mort effective d'un être cher ou mort symbolique (d'un rêve, d'une relation, d'une fonction sociale, d'une profession, d'un lieu de vie, etc.) - , le process reste identique. On compte 4 portes incontournables par lesquelles il est nécessaires de passer. Seul ou accompagné par un professionnel, voici ces 4 portes : 

1. Accueillir la sidération

  • Ne pas forcer à parler.

  • Rendre légitime l’état de vide, d’incompréhension.

  • Amener doucement des micro-gestes d’ancrage.

2. Honorer le lien perdu

  • Permettre la narration libre des souvenirs.

  • Soutenir l'expression de la gratitude, de l’amour, de la colère aussi.

  • Créer si nécessaire un rituel d'adieu (lettre, geste symbolique).

3. Explorer l'identité blessée

  • Comment la perte transforme votre manière de vous percevoir ?

  • Quels attachements anciens sont appelés à être révisés ?

  • Comment reconstruire un "moi" plus vaste, intégrant la perte ?

4. Reconnaître l’appel du vivant

  • Quand le moment est juste : inviter à sentir ce qui, malgré tout, pulse encore.

  • Proposer un espace d’écoute des germes de vie nouveaux.

Le travail de deuil comme initiation intérieure

La psychologie transpersonnelle (Grof, 2010) nous rappelle que :

  • Le deuil n'est pas seulement la perte d'un autre.

  • Il est la mue de nos attachements, la mort symbolique d'une part ancienne de nous-mêmes.

Traverser n'importe quel deuil, c’est surtout une façon d'accéder à un niveau de conscience plus vaste :

  • Moins fondé sur la possession ou la stabilité extérieure.

  • Plus enraciné dans l’être profond, dans la capacité d’aimer au-delà de l'attachement.

Pour le dire autrement, le deuil est une initiation. Ce n'est pas seulement un événement psychique ; c'est une transmutation existentielle.

Jean-Yves Leloup (La mort, la vie après la mort, 1994) parle d'ailleurs du deuil comme d'un pèlerinage intérieur : un chemin où l'absence visible devient une présence invisible, au cœur même de l'être.

Annick de Souzenelle (Le Grand passage, 1998), quant à elle, voit dans la mort un appel à la métamorphose spirituelle :  elle parle d'un abandon nécessaire pour accéder à une conscience plus haute de notre être.

En séance, je soutiens également cette dimension essentielle en proposant parfois des pratiques de reliance intérieure pour honorer cette dimension sacrée de la traversée : écriture symbolique, rituels d'adieu, méditations guidées sur l'essence du lien, etc.

Archétypes liés au deuil : l’Orpheline, la Sage, le Phénix

Dans l'inconscient collectif, le deuil active de grands archétypes initiatiques :

  • L’Orpheline : celle qui perd ses repères, son innocence, son sentiment de sécurité.

  • La Sage : celle qui, en traversant la perte, acquiert la lucidité tendre du vivant.

  • Le Phénix : celui qui accepte de mourir symboliquement pour renaître de ses cendres.

C'est donc naturellement que j'aime à travailler avec les archétypes en général et ces archétypes en particulier. Travailler avec ces archétypes permet d'offrir aux personnes que j'accompagne des repères profonds, intimes et puissamment transformateurs.

En séance, j’utilise également des visualisations, des mythes ou encore des contes pour accompagner ces passages.

Spiritualité et deuil : une ouverture à d'autres dimensions

Le deuil nous ouvre souvent, malgré nous, à une perception plus vaste de la réalité. Frédéric Lenoir (La consolation de l'ange, 2019) parle d'ailleurs du deuil comme d'un réveil de l'âme : un chemin vers une autre forme d'amour, plus libre, plus intérieure.

Bernard Montaud (Le maître est mon cœur, 2006) voit également dans la douleur de la perte l'appel à passer de la dépendance affective à la reliance spirituelle.

Dans les états de conscience élargis (respiration holotropique, méditations profondes, etc.), il est fréquent de rencontrer les "absents" sous forme d'images, de sensations, d'intuitions.
En fait, le lien n'est pas détruit. Il est transformé.

Ce que nous enseigne le deuil : un chemin vers le vivant

Au delà de nos souffrances et des difficultés à vivre que chaque deuil engendre, le deuil n'est pas une punition.
Il est un passage vers la Vie.

Traverser la perte, c’est :

  • Apprendre à aimer sans posséder.

  • Apprendre à être sans dépendre.

  • Apprendre à vivre sans s'accrocher.

 

A mon sens, lorsque l'on se trouve dans une situation de deuil difficile à vivre, 3 grandes questions essentielles sont à se poser avec une profonde sincérité lucide : 

1. Qu’est-ce que je suis en train de laisser mourir en moi ?
2. Quel espace vivant émerge malgré la douleur ?
3. Comment puis-je honorer à la fois ce qui fut et ce qui vient ?

Comme le dit si bien le guru Siddhārtha Gautama :

"Tous ceux que vous aimez et tout ce que vous possédez, vous les perdrez un jour.

Le seul refuge véritable est en vous."

Conclusion

Mourir à l'ancien pour naître au vivant

Le deuil est rude. Il ébranle tout ce que nous croyions acquis. Mais au cœur de cette déchirure, se cache une promesse fragile mais réelle : celle de renaître, plus libre, plus vrai, plus vaste, plus authentique.

La mort, la perte, le deuil ne sont pas les ennemis de la vie. Ils sont en fait des maîtres cachés. Faire son deuil, ce n’est pas oublier. C’est devenir capable d'aimer plus grand et plus vrai.

Comme l'écrivait Christiane Singer :
"Rien ne meurt. Tout se transforme. La vie est ce mouvement."

C'est ce que confirme le Livre de Job :
"Nu je suis sorti du ventre de ma mère et nu j’y retournerai."

 

Vous n’êtes pas en train de disparaître.
Vous êtes en train de devenir.

 

Et pour celles et ceux qui souhaitent aller plus loin, dans une expérience intérieure puissante, je vous invite à rejoindre le stage "Mort et Renaissance" que je co-anime à la fin du mois d'octobre avec mon fidèle binôme Alexis VALENTIN (psychopraticien, thérapeute de couple et facilitateur en respiration holotropique).

Trois jours hors du temps, au cœur d’un lieu ressourçant, pour plonger dans une exploration profonde de vos passages intérieurs grâce à la respiration holotropique et aux rituels de transformation.

Trois jours pour :

  • Traverser symboliquement vos deuils, vos fins de cycles, vos renaissances.

  • Explorer vos mondes intérieurs dans un espace de sécurité et de soutien.

  • Accueillir les parts de vous qui demandent à mourir… pour permettre à d’autres de naître.

Toutes les informations et inscriptions ici : https://www.neosoi.fr/atelier-et-retraites

NeoSoi - Dr Céline BERCION - psychologue sociale et systémique, thérapie de couple et sexothérapie - initiatrice des grandes traversées de vie

36 avenue Roger Cohé
33600 Pessac

Bibliographie 

Freud, S. (1917). Deuil et Mélancolie

Kübler-Ross, E. (1969). On Death and Dying

Neimeyer, R. (2016). Techniques of Grief Therapy

Klass, D., Silverman, P. R., & Nickman, S. (1996). Continuing Bonds

De Hennezel M. (1995). La mort intime

Leloup J.-Y. (1994). La mort, la vie après la mort

De Souzenelle A. (1998). Le Grand Passage

Lenoir F. (2019). La consolation de l'ange

Singer C. (2007). Derniers fragments d'un long voyage

Salomé J. (2000). Contes d’errance, contes d’espérance

Montaud B. (2006). Le maître est mon cœur

Bowlby, J. (1980). Attachment and Loss

Chauveau, P. (2014). Deuil et processus de résilience

Gacon, S. & Giust-Desprairies, F. (2017). Psychologie sociale clinique

Schützenberger, A. (2007). Aïe, mes aïeux !

Tisseron, S. (2017). Les blessures psychiques

Grof, S. (2010). Psychology of the Future

DSM-5-TR (APA, 2022)


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