Céline BERCION - Dr en Psychologie sociale et systémique
Psychothérapie
Thérapie de couple - Sexothérapie 
Initiatrice des grandes traversées de vie

Psychothérapie, thérapie de couple, sexothérapie et éveil de conscience

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Céline BERCION - Dr en Psychologie sociale et systémique
Psychothérapie
Thérapie de couple - Sexothérapie 
Initiatrice des grandes traversées de vie

De la survie à la renaissance : le vrai chemin de guérison après un trauma sexuel


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Combien de personnes ayant subi un trauma sexuel entament un parcours thérapeutique… pour se rendre compte, des années plus tard, qu’elles vivent toujours avec la blessure ouverte ?

En tant que psychologue sociale et systémique, j’observe dans mon quotidien de thérapeute de couple / sexothérapeute une réalité que beaucoup redoutent : la majorité des parcours thérapeutiques liés aux traumas sexuels s’arrêtent trop tôt. Beaucoup trop tôt. Les cauchemars se sont peut-être espacés. Certes. L’anxiété est devenue plus supportable. C'est le minimum. La vie semble "gérable". C'est pas du luxe. Mais à l’intérieur, la mémoire traumatique est toujours là, tapie, prête à se réveiller au moindre stimulus.

Dans le trauma sexuel, ce n’est pas parce que la douleur semble s’atténuer que les chaînes invisibles sont rompues. Beaucoup de patientes me confient : "J’ai fait de l’EMDR, de l’hypnose, j’ai parlé avec ma psy"… Ça va mieux, mais à l’intérieur, c’est encore comme si tout était resté figé".

En fait, ce ressenti n’est pas une faiblesse personnelle ; il reflète une réalité clinique. Selon l’OMS (2018), 1 femme sur 5 en Europe a subi des violences sexuelles dans sa vie. Et parmi elles, près de 60 % présentent encore des symptômes post-traumatiques malgré un suivi psychologique.

Le problème n’est pas que ces méthodes soient inutiles - au contraire, l’EMDR, la thérapie sensorimotrice ou encore la thérapie cognitive centrée sur le trauma ont prouvé leur efficacité - mais qu’elles sont souvent appliquées comme des "patchs" isolés sur une blessure multidimensionnelle. Elles apaisent l’intensité des symptômes, mais ne transforment pas en profondeur l’empreinte corporelle, relationnelle et identitaire du trauma.

Résultat :

  • Les schémas relationnels restent imprégnés par l’histoire subie.

  • Le corps garde ses réflexes de défense.

  • La mémoire traumatique reste prête à se réactiver.

 

Or, la blessure ne se loge pas seulement dans les souvenirs, mais aussi dans le corps, les réseaux neuronaux et les liens que nous créons. Le trauma sexuel n’est pas uniquement un souvenir douloureux stocké dans le cerveau. C’est une empreinte vivante inscrite dans :

  • le corps (hypervigilance, douleurs, dissociation sensorielle),

  • le système nerveux (déséquilibre du système sympathique / parasympathique, dysrégulation vagale),

  • le lien (altération de la confiance, de l’intimité, de la sexualité).

 

C’est pourquoi un véritable chemin de réparation ne se résume pas à une technique : il implique un processus intégratif, qui relie le travail corporel, la régulation du système nerveux, la reconstruction du lien à soi, aux autres et l’ancrage symbolique de la transformation.

Dans cet article, j'aborde les raisons pour lesquelles certaines psychothérapies / thérapies n’amènent qu’un apaisement temporaire et comment une approche intégrative peut, au contraire, amener à une véritable libération intérieure et sexuelle. 

I. Trauma sexuel : pourquoi les approches classiques ne suffisent pas

Apaiser n’est pas guérir.
Et un trauma sexuel qui n’est pas abordé dans toute sa complexité… c’est comme repeindre un mur rongé par l’humidité : ça tient un temps, mais l’eau remonte toujours.

Quand on "apaise" sans guérir : le faux sentiment de réparation

Dans le domaine du trauma sexuel, beaucoup de personnes (ultra majoritairement des femmes) arrivent en consultation avec la même histoire :

  • elles ont "fait un travail sur elles",

  • elles se sentent "un peu mieux",

  • mais les symptômes sont toujours là.

Et pour cause : certaines approches apaisent… sans guérir.

La parole seule peut calmer la tempête intérieure, mais le corps reste en état d’alerte.

Les approches corporelles seules relâchent la tension, mais l’histoire traumatique continue de tourner en boucle dans la mémoire.

Pour rappel, selon l’enquête VIRAGE de l’INED (2020), 14,5 % des femmes en France déclarent avoir subi des violences sexuelles avant 18 ans. Parmi elles, 81 % présentent encore, des années après, des signes de stress post-traumatique : hypervigilance, flashbacks, difficultés relationnelles ou sexuelles, etc.

 

Apaiser, ce n’est pas libérer.

C’est juste apprendre à vivre avec la douleur… jusqu’à la prochaine déflagration.

 

Claire, 42 ans, est venue me voir après avoir subi des abus sexuels dans son enfance. Elle avait déjà travaillé trois ans avec une psychologue clinicienne en suivi hebdomadaire. Elle avait appris à mettre des mots sur ce qui s’était passé, à exprimer sa colère et elle se disait "soulagée".

Sur le papier, c’est une victoire. Mais dans sa vie intime, elle se fige encore quand son partenaire pose la main sur sa taille, ou rit nerveusement pour éviter un contact sexuel direct. Elle ne sait pas l’expliquer. Lui croit que "c’est du passé".

En réalité, le trauma a changé de visage… mais pas de place.

Ce que je veux signifier dans cet article, c'est que ce n’est pas l’outil qui est en cause - l’EMDR, TCC, hypnose ou encore la somatic experiencing sont vraiment des outils puissants - c’est l’angle de travail : le travail en psychothérapie classique a traité la mémoire traumatique en isolation, sans forcément retravailler sur les autres niveaux :

  • La mémoire corporelle implicite
  • Les réflexes de protection dans la relation
  • Les croyances sur le désir et la sécurité
  • Le contexte social et familial qui maintient des scripts invisibles

Les approches focalisées sur un seul levier - mémoire, cognition ou relaxation - peuvent créer un soulagement rapide… mais partiel.

Si dans la psychothérapie on ne réintègre pas :

  • Les interactions quotidiennes où le trauma s’active

  • La réappropriation sensorielle du corps dans le désir

  • Le recadrage symbolique de l’histoire vécue

… alors le trauma reste comme une racine invisible, prête à repousser.

 

En ce sens, c'est un peu comme un "faux mieux" : a priori la personne va mieux, mais les déclencheurs profonds restent intacts. C'est d'ailleurs l'un des motifs de consultation les plus classiques en sexothérapie. 

 

Le soulagement sans transformation, c’est comme colmater une fissure sur un mur porteur affaibli :

ça tient… jusqu’au prochain choc.

II. Comment un trauma mal traité se déguise

Quand la douleur prend toute la place, un protocole qui coupe la douleur et les souffrances en quelques séances, c’est tentant. Mais ça ne marche pas comme ça. 
Ce que les études de Judith Herman (1992) et Bessel van der Kolk (2014) montrent, c’est que la disparition d’un symptôme n’implique pas la cicatrisation des systèmes qui ont été atteints :

  • Corps

  • Lien

  • Représentations

  • Identité sexuelle

 

En fait, sans un travail véritablement complet, le trauma ne disparaît pas : il change tout simplement de masque. Des recherches comme celles de Muriel Salmona (2013) et Bessel van der Kolk (2014) montrent qu’un travail qui n’intègre pas toutes les dimensions de l'expérience humaine laisse la mémoire traumatique active. Résultat :

  • Un déclencheur sensoriel ou émotionnel peut tout réactiver.

  • Les cauchemars cessent… mais le corps se coupe de toute excitation sexuelle.

  • L’angoisse diminue… mais la personne développe un hypercontrôle de ses relations.

  • Les choix amoureux restent orientés par l’histoire subie.

  • Le plaisir sexuel est vécu comme fragile ou conditionnel. 

  • Le contact physique devient tolérable… mais sans plaisir, juste "supportable".

C'était le cas de Julie, 38 ans, qui avait appris à éviter les situations à risque. Mais à la première relation intime un peu intense, son corps s’est refermé, comme si rien n’avait changé.

Tout comme Samira, 38 ans, qui, après un accompagnement avec une psychologue clinicienne pouvait enfin dormir dans les bras de son compagnon sans crise de panique. Mais au moment d’une caresse intime, son corps se fige. Elle ne fuit pas… certes ... mais ne sent rien. C’est donc un trauma "en veille".

Ce qui se joue : c’est moins un protocole qu’une traversée. C'est là tout l'enjeu d'un travail psychothérapie et en sexothérapie intégratives. En tout cas, c'est ma façon de voir et de travailler.

III. Guérison profonde d’un trauma sexuel : la puissance d’une approche en santé intégrative

Les recherches de Ruth Lanius (2015) et Bessel van der Kolk (2014) montrent qu’après un travail complet d’intégration :

  • Le système nerveux se régule spontanément après un contact physique, au lieu de passer en mode alerte rouge.

  • La sexualité retrouve un spectre complet de sensations : excitation, jeu, abandon, plaisir.

  • Les frontières relationnelles deviennent un réflexe sain, pas un combat.

  • Le récit de soi inclut le trauma, mais n’est plus centré dessus.

C'est le cas de Sophie, 45 ans, qui, aujourd'hui, ne se contente plus de "tolérer" un baiser prolongé. Après une dizaine de séances de psychothérapie et de sexothérapie intégratives, elle recherche le baiser prolongé. Elle y prend désormais du plaisir et n’a plus besoin de surveiller sa respiration pour rester présente.

 

Rémission ou renaissance ?

La rémission, c’est fonctionner sans symptômes envahissants.

La renaissance, c’est vivre en se sentant libre.

Dans la rémission, on survit mieux. Dans la renaissance, on s’épanouit pleinement.

Cette différence repose sur un travail thérapeutique multi-niveaux :

  • Psychothérapie pour reconstruire le sens.
  • Travail corporel pour libérer les réponses somatiques.
  • Sexothérapie pour relier sécurité et plaisir.
  • Dimension biologique via des analyses en médecine fonctionnelle
  • Travail symbolique et rituel pour inscrire la guérison dans l’identité.
  • Dimension sociale pour déconstruire les scripts culturels.

C'est là - en tout cas de mon point de vue - tout l'enjeu d'une psychothérapie intégrative et / ou d'une sexothérapie intégrative.

Là où les approches partielles travaillent un étage de la maison, l’approche intégrative travaille les fondations, les murs et la toiture en même temps. Le trauma sexuel ne vit pas seulement à l’intérieur de la personne : il se rejoue dans ses relations, ses dynamiques d’attachement et ses représentations sociales du corps et de la sexualité.

 

Indices que la guérison est bien intégrée

  • Le corps accueille le plaisir sans vigilance constante.

  • Les déclencheurs d’antan perdent leur pouvoir émotionnel.

  • On se définit par ses désirs, pas par ses blessures.

  • Les relations se vivent avec un sentiment de sécurité intérieure.

 

On ne guérit pas un trauma sexuel en changeant un seul verrou :

il faut rouvrir la porte et reconstruire toute la maison.

FAQ FAQ – 12 réponses pour comprendre et dépasser le trauma sexuel

1. Peut-on guérir totalement d’un trauma sexuel ?
Oui, mais la guérison n’est pas synonyme d’oubli. Elle consiste à intégrer l’événement dans son histoire sans qu’il dicte encore vos émotions, vos choix amoureux ou votre sexualité. Cela nécessite souvent un travail sur les plans psychique, corporel, relationnel et symbolique.

 

2. L’EMDR suffit-il seul à guérir ?
→ Pas si tu veux vraiment te libérer.
Il calme la tempête, mais ne reconstruit pas la maison.

L’EMDR est un outil efficace pour réduire la charge émotionnelle d’un souvenir, mais il ne restaure pas à lui seul le lien au corps, au plaisir et à la relation. Pour une transformation durable, il doit être intégré dans un cadre plus global (thérapie corporelle, sexothérapie, travail symbolique…).

 

3. Pourquoi revenir sur des souvenirs douloureux ?
→ C’est vital.
Tant que tu n’y retournes pas, elle continue de vivre en toi… en secret.

Parce qu’éviter la douleur ne la fait pas disparaître, elle reste enkystée. La revisiter dans un cadre sécurisé permet de l’intégrer, de la transformer et de réinscrire l’expérience dans une narration qui ne vous enferme plus.

 

4. Comment savoir si ma thérapie s’est arrêtée trop tôt ?
Si ton corps se ferme encore, le chemin n’est pas terminé.

Des signes comme :

  • Peur persistante de l’intimité.

  • Schémas relationnels répétitifs.

  • Corps qui se ferme lors de certaines caresses.

  • Sentiment de “dissociation” pendant les rapports.

… indiquent que le travail n’a pas été mené jusqu’à sa racine.

 

5. Peut-on réactiver un trauma guéri ?

→ Ça dépend.
S’il est vraiment intégré, aucun déclencheur ne le réactive. Sinon… il attend dans l’ombre. Dans ce cas, un déclencheur (odeur, geste, voix) peut faire resurgir les réactions automatiques de défense.

 

6. Quelle est la place du travail corporel dans la guérison ?
Centrale. Un trauma sexuel n’est pas seulement un souvenir : c’est une empreinte dans le système nerveux. Un trauma sexuel se soigne aussi et surtout dans le corps. Le travail corporel (respiration holotropique, mouvement, toucher thérapeutique…) aide à libérer les mémoires somatiques.

 

7. Et si je ne me souviens pas de tout ?
La mémoire traumatique peut effacer ou fragmenter les souvenirs. Ce n’est pas un obstacle : le corps et les émotions portent la trace. Ton corps se souvient toujours. On travaille alors à partir des sensations, réactions et déclencheurs, même sans récit précis.

 

8. Pourquoi intégrer la sexothérapie ?
Parce qu’un trauma sexuel affecte presque toujours la capacité à vivre un plaisir libre, sans peur ni dissociation. La sexothérapie permet de réapprendre la connexion entre sécurité, désir et plaisir. La sexothérapie, c'est pour retrouver la liberté d’aimer et d’être touché·e.

 

9. Quelle est la différence entre "aller mieux" et "guérir" ?
"Aller mieux" c’est comme marcher avec des béquilles. Cela signifie que les symptômes sont moins envahissants. "Guérir" c'est comme c’est courir libre. Cela signifie que le passé n’a plus de pouvoir sur le présent et que le corps, l’esprit et le lien amoureux sont réinvestis pleinement. 

 

10. Le rituel a-t-il vraiment un effet thérapeutique ?
Oui, les rituels thérapeutiques ont un fort impact symbolique et neuropsychologique : ils marquent la fin d’un cycle et l’appropriation d’un nouvel état intérieur. C’est comme un verrou qui saute, une porte qui s’ouvre, une vie qui redémarre. Ils peuvent compléter efficacement la thérapie.

 

11. Combien de temps prend une guérison complète ?
Cela dépend : intensité du trauma, ressources internes, qualité de l’accompagnement. En moyenne, un travail profond se compte en mois ou années, pas en semaines. Parce que les racines sont profondes et la récolte précieuse.

 

12. Comment savoir si j’ai trouvé la bonne approche ?
Vous sentez que votre corps se détend, que vos réactions automatiques diminuent, que votre désir retrouve sa place, et que vous ne craignez plus d’aimer ni d’être aimé·e. C’est le signe que le travail va au bon endroit. Votre corps se détend. Vos réactions s’apaisent. Votre désir renaît.

Conclusion

Une seule clé n’ouvre pas toutes les portes

Aller mieux, c’est déjà un exploit. Mais si tu t’arrêtes là, ton passé reste tapi dans l’ombre, prêt à resurgir au moindre choc. La vraie guérison, ce n’est pas seulement "ne plus souffrir", c’est pouvoir repenser à l’événement sans que ton corps, ton cœur ou ton désir ne se contractent. C’est transformer la plaie en cicatrice solide, indifférente aux intempéries émotionnelles.

 

L’EMDR, les thérapies brèves, la parole, la pleine conscience… tout cela fonctionne. Mais seul, chacun de ces outils ne fait qu’une partie du chemin. Un trauma sexuel se loge dans le corps, dans les circuits neuronaux, dans les réflexes d’attachement et dans l’inconscient symbolique. L’aborder par un seul angle, c’est comme réparer une maison fissurée en ne repeignant que les murs. La transformation profonde, elle, demande un travail intégratif : corps, psyché, relation et symbolique. C'est tout l'enjeu d'un travail en psychothérapie intégrative / sexothérapie intégrative. 

Tu peux marcher seul·e… mais seul ton regard ne voit pas tes angles morts. Un bon accompagnement n’est pas là pour "faire à ta place", mais pour tenir le fil lorsque tu traverses les zones qui font peur. C’est dans ce compagnonnage lucide et exigeant que la liberté s’installe, que le passé cesse d’avoir un droit de veto sur ta vie amoureuse et sexuelle.

 

Un trauma sexuel vole des parts entières de soi. Et parfois, les années passent… sans que tu les récupères.
Je t’accompagne pour :

  • Récupérer ton corps comme territoire sûr.

  • Pacifier ta mémoire sensorielle pour que le contact redevienne un choix, pas une menace.

  • Réécrire ton histoire intime pour que le désir ne soit plus un champ de bataille.

  • Réconcilier ton âme et ta chair dans un lien choisi et vibrant.

Ton histoire ne s’arrête pas à ce qui t’est arrivé.
Réserve ta séance : https://www.neosoi.fr/contact-neosoi-pessac

 

Un trauma sexuel, c’est un cambriolage de l’intimité.

La thérapie intégrative c’est reprendre chaque pièce, chaque odeur, chaque lumière, jusqu’à retrouver le goût d’habiter ton corps.

Bibliographie

https://shs.cairn.info/revue-therapie-familiale-2014-2-page-227?lang=fr

https://shs.cairn.info/l-alliance-therapeutique--9782100820887-page-55?lang=fr

https://shs.cairn.info/pratique-de-la-psychotherapie-emdr--9782100808014-page-23?lang=fr

  • Stora, J.-B. (1999). Quand le corps prend la relève : Approche psychosomatique intégrative. Odile Jacob.
  • van der Kolk, B. A. (2014). Le corps n’oublie rien : Le cerveau, l’esprit et le corps dans la guérison du traumatisme. Paris : Albin Michel.
  • Cloitre, M., Stolbach, B. C., Herman, J. L., van der Kolk, B., Pynoos, R., Wang, J., & Petkova, E. (2009). A developmental approach to complex PTSD: Childhood and adult cumulative trauma as predictors of symptom complexity. Journal of Traumatic Stress, 22(5), 399-408. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/jts.20444
  • Lanius, R. A., Frewen, P. A., Tursich, M., Jetly, R., & McKinnon, M. C. (2015). Restoring large-scale brain networks in PTSD and related disorders: A proposal for neuroscientifically-informed treatment interventions. European Journal of Psychotraumatology, 6(1), 27313Lanius, R. A., Paulsen, S., & Corrigan, F. (2014). Neurobiology and treatment of traumatic dissociation: Toward an embodied self. New York: Springer Publishing Company.

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36 Avenue Roger Cohé
33600 Pessac
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